Vieille dame, ou son clone,
La mer au  soir d'automne
Tourmentée par le vent
Se ride grandement

Son ami le soleil
D'un élan sans pareil
Des couleurs feu dispose
Entre ses plis moroses

L'or et le rouge ardent
S''incrustent dans l'argent
Puis le feu en silence
Tire sa révérence

La vieille dame, un temps
Revivifiée, attend
Que la nuit l'éclaire
Aussi de ses lumières

SIDO

Entre noir et gris introduire

Des notes rousses, chocolat

En teinter l'intérieur de soi

Pour, les rêves, ne pas détruire

 SIDO

Tout de blanc
Rejaillir
Idées cœur
Rafraichir
Couleurs sombres
A gommer
Gouttelettes
Essuyer
Mais, du blanc,
Que bâtir ?
Tout en soi
Repartir ! 

SIDO

Qui je suis ?
Peu importe
Me déploie
Pour toucher
Le regard
Qui répond,
Ou rejoindre
L'univers
De l'enfant,
Sans questions
Inutiles

SIDO